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22 à 25 Jésus apaise une tempète.
Voir, sur ce récit, Matthieu 8.23-27, notes ; Marc 4.35-41, notes.
- D'après Matthieu et Marc, (Marc 4.35) c'était au soir d'une journée que Jésus avait passée à enseigner les foules et à opérer de nombreuses guérisons. (Matthieu 8.16)
Luc indique d'une manière moins précise le moment de ce départ : il arriva un jour. Mais chez lui, comme chez Matthieu et chez Marc, l'apaisement de la tempête fait partie d'une série de récits, la même dans les trois évangiles, qui comprend la guérison du démoniaque, (verset 26 et suivants) la guérison d'une femme malade, (verset 43 et suivants) la résurrection de la fille de Jaïrus. (verset 41 et suivants)
Ces faits étaient probablement liés chronologiquement et avaient marqué le moment où le ministère de Jésus en Galilée atteignit son plus haut degré de puissance. Nous voyons, en effet, dans ces faits, le pouvoir du Sauveur s'exercer sur les forces de la nature et même sur la mort, non moins que sur les maladies. |
| 8.24 |
Et s'approchant, ils le réveillèrent, disant : Maître, Maître, nous périssons ! Mais lui, s'étant réveillé, réprimanda le vent et les flots ; et ils s'apaisèrent, et il se fit un grand calme. |
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Voir, sur cette question qui étonne au premier abord, Matthieu 8.26, note ; Marc 4.40, note.
- La faible foi des disciples grandit à la vue de ce miracle même, car ils sont remplis d'admiration pour Celui qui commande à la nature, et elle lui obéit ! (verset 25) |